Le 09/01/2019, le ministère du Gouvernement Wallon a annoncé que deux sangliers ont été contrôlés positifs à la peste porcine africaine (PPA) en dehors de la zone tampon (zone I), au sein de la zone d’observation renforcée (ZOR) (zone II).

 

Depuis quelques temps, des signalements d'intoxication d'équidés ont été réalisés en région Centre-Val de Loire, notamment par la présence de Séneçon dans les fourrages. 

 

Les autorités wallonnes ont annoncé la construction d’une clôture supplémentaire de quinze kilomètres le long de la frontière franco-belge, pour prévenir la propagation du virus vers la France.

 

Suite à la confirmation de cas de PPA en septembre 2018 dans une zone au sud de la Belgique chez des sangliers sauvages, la réglementation de l'identification du cheptel porcin a évoluée. Ainsi la définition de "détenteur porcin" a été modifiée. 

 

Début décembre, le CNOPSAV a donné un avis à la demande des régions Hauts-de-France et Grand-Est : désormais, dans les zones retenues (une partie des Hauts-de-France et du Grand-Est), les dépistages en vue de qualification vont être systématisés et les introductions soumis à exigences spécifiques. 

 

Un nouveau rucher sentinelle a été confirmé positif le 12 novembre 2018 dans la commune de Villa San Giovanni au sud-ouest de la Calabre en face de Messine.

 

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